Je bosse pour voyager (et je photographie pour ne pas oublier)
- Virginie
- 9 août
- 2 min de lecture
Bon, autant être honnête dès le début : je travaille pour pouvoir voyager.
Voilà, c’est dit.
Oui, j’aime mon métier, mais soyons clairs : il y a un coin de mon cœur qui bat plus fort à chaque fois que je réserve un billet d’avion ou que je fais ma valise.
Le monde, mon premier modèle
Avant les bébés dodus et les familles à croquer, je photographiais des montagnes, des plages, des ruelles colorées au hasard du monde.
Mon appareil me suivait partout et je crois bien que c’est là, au milieu de ces paysages fous que ma passion pour la photo est née.
Et puis… j’ai eu des enfants (et ils ont volé la vedette)
Un jour, mes enfants sont arrivés. Et avec eux : des joues à bisous, des regards qui transpercent, des grimaces improbables...
Bref : ils ont pris toute la place dans mes cartes mémoires et sur mes disques dur.
Et tu sais quoi ? En fait, j’ai adoré ça.
C’est comme ça que je suis tombée amoureuse des portraits d’humains. Des vrais. Des petits, des grands, en pyjama ou en robe du dimanche. Ceux qui pleurent, qui rient, qui se chamaillent, puis qui se font des câlins 2 minutes après.
Voyager ET photographier des familles : mon combo gagnant
Aujourd’hui, je continue de capturer les émotions vraies ici, chez toi ou en pleine forêt…
Les voyages me rappellent comme le monde est grand.
Les familles me rappellent comme l’amour est grand.
Et dès que j’ai du temps (et une destination en tête), hop, je repars voir le monde (avec mes enfants du coup). Ca donne des photos sympas aussi.
Non ?




















































































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